samedi, 10 septembre 2011
芙蓉峰
L'eau naît du feu
Qui la forge en arômes
Que le vent déploie
Telles des oriflammes
Aux contours sensuels
Il n'est d'amour éteint
Qu'effluves d'erreurs
Dotées de pseudonymes
Pour enivrer les yeux
De soyeuses mordorures
Le feu est comme la soif
Inextinguible des sentinelles
Un bûcher de pure fraicheur
Où seule survit la douceur
Dans son écrin de transparence
19:25 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Bonsoir GM
belles lectures ce soir chez toi ;)
Écrit par : if6 | dimanche, 11 septembre 2011
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