Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 01 octobre 2013

CANTATE FAUVE

De la brume pourpre surgit
L'âme émerveillée du lion
Qui caresse l'argent du regard
Sur les armoiries de la vie

Quand la cité se dépeint
Sous le make-up des convenances
L'ombre perd l'aura de son fard
Comme une blanche pierre bénite

Au droit du soleil les assassins
Forment une confrérie monozygote
Qui rayonne sans souci de vraisemblance
Sur les torrents du crépuscule