mardi, 03 janvier 2006
METAPHYSIQUE DU DE A COUDRE
Un dé à coudre de matière, c'est bien fort peu
Mais c'est suffisant pour créer le merveilleux
Tel l'alchimiste qui transmute le plomb en or
D'un rien, l'Aimé invente des trésors
Toutes les modernités du monde ne feront rien
A ce brillant tableau mouvant que peint le destin
Une fresque aux millions d'étincelles brillantes
Six milliards de soleils en orbites tournoyantes
Dans le chatoiement de ce maelström de lueurs
Rien ne dérange la sérénité du rêveur
Mille firmaments d'éther illuminent son coeur
Et les âmes attentives qui ressentent sa douceur
Que des millions de comètes s'embrasent et disparaissent
A chaque instant ne trouble en aucun cas l'allégresse
Des coeurs purs dont l'emblème est la rude tendresse
Offerts qu'ils sont à l'Aimé et à sa vertigineuse liesse
Dans un reflet éteint de Lumière étonnante
La merveille poursuit son oeuvre tourbillonnante
Qu'il y ait du vide plutôt que des choses absentes
N'arrête en rien la célébration de la joie irradiante
15:05 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
réponse à votre commentaire sur mon billet « D-IEU » http://albertborgel.blogspirit.com/archive/2005/10/26/d-ieu.html
philia
Écrit par : eX-Time | mardi, 03 janvier 2006
Les commentaires sont fermés.