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vendredi, 13 janvier 2006

UNE CHAMBRE EN VILLE

Le Saint des Saints de la Vie s'exprime en beauté
Nue sans la moindre trace du sensible et grossier
L'extase en est la moindre manifestation
Pas un souffle n'est capable de prononcer son nom

C'est au confluent de la chambre éthérée
Où masculin et féminin célèbrent l'Aimé
Que s'exprime en grande et généreuse abondance
L'ampleur et la douceur de sa magnificence

Pour la trouver il faut démissionner d'office
Du rôle d'emprunt joué qu'on offre en sacrifice
Un sacrifice qui peut coûter beaucoup à ceux
Qui ont pris à tort cette pauvre enveloppe pour eux

Peu importe à ce moment ce qu'il en est en ressort
Rien ne saurait égaler ce divin trésor
Peu importe désormais le futur de la forme
Elle répond maintenant à de nouvelles normes

Commentaires

Bonjour merci de ton passage, j'ai mis le lien sur la page "vous m'avez laissé un commentaire."

Je reviendrais découvrir et lire petit à petit.
Marie

Écrit par : MarieLH | samedi, 14 janvier 2006

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