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lundi, 10 mars 2008

CE BON VIEUX SAULE

La magnanimité plaint les bourreaux
Et les hyènes en tous genres
Dont les crachats asthmatiques
Traversent le cristal de l'eau
Son alchimie n'est jamais atteinte
Par des sécrétions de purulence
Qu'éventuellement elle transmute
Ou cathartise
Les lois créent le crime
Barrages inutiles sur la mer
Qui dissout les phénomènes
Dans l'empreinte de son chant

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CATÉCHUMÈNE EN PSYCHIATRIE

Les maladies sont religieuses Qui déflorent vos pulsions La foi schizophrénique vous dévore Vous êtes les mourants de Dieu Lors des parricides de la Saint-Barthélemy Il n’y a de réalité que dans l’Église de rien Qui s’appelle aujourd’hui le sport ou la pop music Crémations des évidences Dans les limbes canoniques du texte saint Dévergondage d’Allah dans la promesse des vierges Inanité paralytique du Bouddha Politiques des bras armés de la justice Nous sommes fou de Dieu, fou de rien, de simples poètes À abstraire des riens en folies de mots Expectorations maladives par coups de froid Qui viennent embuer le microscope par où l’on voit Les bacilles putrescents de la vie originaire Où l’âme prend son origine Avant d’être à Dieu un nouvel apôtre Nous sommes tachycardie devant un jupon Et mort à l’âme seul au soir Des aberrations en narcissisme De ceux qui sont aveugles de leur sort Le virus libéraliste s’est propagé Chacun s’estime lésé dans la France décadente Je n’ai plus de vie en n’ayant plus de maux Principe de réalité versus principe de mort Dont les lois hétéroclites n’amènent que de veules ramifications Que découpent les tronçonneuses des voisins L’oiseau ne se posera plus Les migrations animales ont changé de sens Cours vite Atalante Je cours plus vite que toi pour t’enculer Les priorités de certains ont changé

Écrit par : pseudonymes1 | lundi, 10 mars 2008

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