mardi, 11 mars 2008
LE PEROU DU MEROU
Les mains ouvertes toujours
Rien à gagner
Tout à perdre
Comme la fin d'un monde
N'écouter que la voix muette de l'encre
Qui tresse des rivières à rebours
Sur le dos de la mer
Affronter les tempêtes
Raser les villes
Se laisser faire et tout accepter
18:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.