mardi, 18 mars 2008
A LIVRE OUVERT
Pas de compte à rendre
Au vent qui porte les chants
Pas de compte à rendre
A la mer qui héberge
Les dauphins et les lyres
Pas de compte à rendre
A la pluie qui nourrit
Les alluvions du délire
Pas de compte en regardant
Le feu qui forge l'orage
20:15 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Jamais venu, le comptable
Viendra jamais, le comptable
Pas de compte à rendre !
Pas de compte à rendre !
Je compte pourtant les dauphins
Les lyres
Les nuages
Les délires... de ma vie
Écrit par : r_i_d | samedi, 22 mars 2008
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