mercredi, 19 mars 2008
PRESENT HORS MEMOIRE
Toutes les langues sont inconnues
Les unes aux autres
Même quand elles partagent
Le même idiome
Il faut laisser le vent chanter
Et retranscrire ses traces
Sans personne pour s'emparer
De la mélodie du sous-sol
Ouvrir les oreilles et la bouche
Pour que l'écho resplendisse
Et que s'impriment sur la mer
Les vagues iridescentes du feu
17:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
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