jeudi, 20 mars 2008
CHOUM
La rivière ronde éternue du venin
Pour encenser le monde
Des catacombes mouvantes
Et des culs-de-basse-fosse lumineux
Tel un gentil hurlement de douceur
Dans les vascularités véhémentes
Des sanglots amoureux bercent
Le poil retors des otaries cataleptiques
Incurvant les lignes de mire
Dans l'acquisition des volumes
Le sampling voluptueux des voyelles
Et la rythmique atonale des consonnes
11:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
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