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jeudi, 27 mars 2008

INRIME CONVICTION

Ce qui contamine les éminences scripturales n'a rien à voir avec une civilisation, cet ersatz préfabriqué résultant d'un mouvement d'hallucination exempté de liposuccion pour cause d'anémie probable ou d'injection sans péridurale d'hormones de croissance exogène. Dans les forêts d'émeraude de la cordillère subatomique, le langage se dévergonde à souhait, nouant dans ses fibres les éléments des noeuds gordiens que ne savent pas trancher les psychopathes issus du monde des sérieux délétères aux genres sexués comme une armada de toros jamais sortis du parcage, trop timides pour entrer sur l'arène aux mille reflets d'arc-en-ciel. Poser la question des enterrements, cela revient à poser la question des labours, voire même celle des vendanges, les Funérariums Anonymes n'étant que la surface émergée des icebergs colombophiles du pragmatisme de l'inutilité resplendissante, genre d'orgie monogame à consonnance plurielle, histoire d'épater les galeries absentes du pop-art dans un tapin aquatique à forte connotation suburbanistisque, danse des mille ventres qu'un cierge sanguinolent empale dans un cercle aux vis aussi torride qu'une matelote de turbot un lendemain de fête patronale. En bref, rien de bien nouveau dans la stylistique épistolaire, si ce n'est une hypothèse du tiers inclus dans les romans d'avant-garde du dix-neuvième arrondissement, là où Jack dépucelle les bodegas dans un tremblement extatique rappelant furieusement le goût exquis des abricotiers péruviens, endroit où se perdent les ramifications temporelles dans un soubresaut d'instantanéité du style climax pour headbangers accouplés en paquet monocellulaire dans la cyprine qui berce le petit matin.

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