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Nul ne connaît
La chaleur intime
Des nuits de l'azote
Où la peau bronze
Sous l'effet du givre
Pendant que des torrents glacés
Font transpirer les burnous
De gouttelettes pourpres
Et sucrées par des fraises
Qui dévergondent les sens
09:31 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Le sang couleur vermeil coule doucement au centre de la chapelle.
Et lui regarde, fièvreux, halluciné, bientôt la pierre va glisser de la roche effritée par toute sa chaleur transpirée.
Hélàs. Son sang ne va plus se mêler au sien ...
Elle dans la coupe de ses mains rouges s'evapore.
Écrit par : evelyne | dimanche, 20 avril 2008
magnifique cette chaleur glaciale.
Je me le garde...
Écrit par : Loïc | dimanche, 27 avril 2008
Les commentaires sont fermés.