mardi, 13 mai 2008
SANGUINE DOREE
Les mondes de la douceur
Sont de feu et de sang
L'incendie consume en permanence
Les perles de jouissance
Tandis que le napalm fluorescent
Ruisselle en nappes de fraîcheur
Eblouissant les cataractes
De son atonie cathédrale
Comme l'atmosphère implacable
D'une caresse d'émerveillement
12:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
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