mardi, 20 mai 2008
ALONG THE EDGE OF DANCE
Toucher la main
D'un doigt léger
Comme un soupçon de venin
Effleurer les paupières
D'une langue de satin
Sur une glisse de poudreuse
Sentir
La joie qui s'émoustille
Comme une peau qui mue
En un frisson délicat
Laisser venir
L'orage de candeur
Et ses terminaisons bouclées
Dans l'ouverture évanescente
L'année du micron étonnant
Le siècle des dilatations
Le temps de l'injustice arbitraire
De l'équilibre instable
De l'implosion permanente
En érection
10:23 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
si je peux me permettre j'aurais mis en solo les deux verbes des deux premières strophes également ...
oui ! la vie dansant sur son fil sensuellement violeuse en puissance...
cruellement jouissif
Mijo
Écrit par : Mijo | mardi, 20 mai 2008
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