samedi, 31 mai 2008
LA MORT COMME UN MALENTENDU
La mort ne tue que les morts
Sursitaires par volonté
Vacanciers au travail
Amateurs de frisson bon marché
Qui créent les circonstances
Dont leur chant reflète
Les méandres encombrés
Par l'inexorable carnaval
Des fanfreluches apprivoisées
Aux saveurs domestiques
10:36 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
LA VIE COMME UNE COMPREHENSION
La vie ne concerne que les vivants
Permanents involontaires
Qui labourent des poumons
Des terres d'air tranquille
Dans la rue, en bas,
Deux femmes qui se battent :
La vie et son contraire.
Écrit par : r_i_d | dimanche, 01 juin 2008
Les commentaires sont fermés.