samedi, 06 septembre 2008
EPINGLER LA NOURRICE
Le jeu parcourt
Tous les livres de contes
Quelle que soit la sympathie
Que diffusent les ancres
Et la couleur des rivages
Une hypothèse au milieu
Le tumulte joue à cache-cache
Sur un spot de surf
Entre les lames un couteau
Entre les dents le sourire d'une rose
22:59 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
PLUIE
Je me lèverai et j'irai bientôt
Et je partirai jusqu'au pont fait d'eau auquel s'accrochent des rivières d'étoiles
Rêvant lentement le ciel monté aux échancrures du silence
Dans la solitude d'un monde qui s'écroule
Au milieu de cercles de feu
A ouvrir les portes de lumière qui s'étoilent au loin
A recueillir l'aurore aux lèvres de la terre
Nuit et jour toujours seul comme l'aube aux montagnes
A voir sourire les roses
J'irai danser le ciel à toutes portes de ce monde
Écrit par : Florent | dimanche, 14 septembre 2008
PLUIE
Je me lèverai et j'irai bientôt
Et je partirai jusqu'au pont fait d'eau auquel s'accrochent des rivières d'étoiles
Rêvant lentement le ciel monté aux échancrures du silence
Dans la solitude d'un monde qui s'écroule
Au milieu de cercles de feu
A ouvrir les portes de lumière qui s'étoilent au loin
A recueillir l'aurore aux lèvres de la terre
Nuit et jour toujours seul comme l'aube aux montagnes
A voir sourire les roses
J'irai danser le ciel à toutes portes de ce monde
Écrit par : Florent | dimanche, 14 septembre 2008
http://fr.youtube.com/watch?v=L7qCZPH4pz8
Écrit par : Florent | dimanche, 14 septembre 2008
un futur, un possible, un ailleurs,
exhortation, avenir proche, poésie et immatériel,
désir, turpitudes du désir, inanité de l'inconcret,
faîtes, préparez, jouez, impératifs,
fin des songes, fin des temps, fin des possibles,
poésies épineuses, poèmes ronds d'eux-mêmes, écritures poétiques de la dissimulation,
tout faire en disant tout,
ne jamais passer sous un train sans laisser au silence,
une surdité inlassable lors d'un cri de jouissance,
explosion du feu interne en coulée de lave progressive,
une présence d'esprit aux bords des lèvres,
la sérénité du présent sans suffisance,
l'orgasme d'avoir tout dit et tout fait,
enfoncer toutes ces portes où passe la lumière réunie.
Écrit par : pseudonymes1 | jeudi, 18 septembre 2008
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