jeudi, 30 octobre 2008
FANTAISIE PRINTANIERE
La pensée n'est autre
Que le fond de teint
Qui transforme les merveilles
Du visage de la Femme
En de multiples atours
Le regard perce le khôl
Dénude le velours de la peau
Sous l'échancrure du corsage
Où niche la respiration des oiseaux
Et les saveurs du santal
14:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
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