dimanche, 02 novembre 2008
S'EBOUILLANTER DE FROID
Ne se mime que le désir
D'on ne sait quoi
Sans lâcher la rambarde
De l'escalier
Qui peut donc mimer
L'explosion d'une bombe
A défragmentation
Sinon la faim des loups
Quand leur escadrille de dents
S'exacerbe dans l'agonie
18:30 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Même si le jeu en vaut la chandelle
Je n'hisserais pas ton drapeau blanc
Il est encore trop loin du ciel
Je laisse le noir au gré du vent
Embarque toi dans la galère
De tes croisades d'illusion
Je sauve pas la peau qui m'est si chère
Trouve autre chose pour tes canons
Si la colombe se deplume
Sous le regard des inocents
Il reste des braises qui se consument
Sous le pas des militants
Y'a plein de gens dans les cimtières
Qui ont cru a tes grands sermons
Le seul paradis sur la terre
C'est l'amour de la revolution
Écrit par : anonyme | dimanche, 02 novembre 2008
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