lundi, 17 novembre 2008
LITTERATURE SANS PERIL
Le poète
Cet illettré jamais né
Ne connaît que la crème
Des pets sans souci
Proute-t-il
Que le vent s'en offusque
Dans le sourire narquois
Du je-m'en-foutisme
Pas un mot
Qui ne vaille la peine
Qu'on s'y attarde
Sérieusement
11:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
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