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vendredi, 28 novembre 2008

BRUTE DE DECOFFRAGE AERIEN

Chevaucher les dragons à cru est affaire d'instantanéité, la Factory peut produire des divisions de la joie à tout instant, sans les usiner, juste en laissant faire le vent sur sa paume d'amazone aux mains ensanglantées par les coloris pirates qui détournent les cargos ventrus sur de précieux brisants. Philosophie d'équitation pour amateurs de pluie, la chevauchée fantastique est une poursuite impitoyable, rendez-vous where eagles dare, en solitaire comme il se doit sous les parapluies d'où émerge à grand-peine Cherbourg et son arsenal obsolète. Ouragans et tempêtes, écorchures et cris, les naufrages sculptent des caryatides aux seins lourds de conséquences dans les affres volatils qui embuscadent les noix de jade perlière dont raffolent les outardes dans les jardins suspendus aux lèvres du temps, légèreté intrinsèque des fumées indiennes sur les torrents du tsunami admirable qui perche là où Nemo lui-même n'a pas mis l'ombre d'une mâchoire, ni même un plombage, fut-il de poudre d'escampette.

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