vendredi, 05 décembre 2008
FER DE NAGE AU GOURBI
Oseraie des usines
Aux toits enflés souvent
Les oreilles se lézardent bien
Dans l'onde où les morts ont bon dos
Plein d'amphores ce moufflet
Sous l'haleine des dunes de vent
Crache-moi donc au doux de leur coeur
Désapant les seins bas qui s'émincent
Quand l'encens gronde en silence
Que l'airelle hante le bordel
D'un cri qui brave l'écrivain
10:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
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