vendredi, 19 décembre 2008
NEVE DU VENT
La caresse se rit des distances
Flattant les hanches
Ou le téton du sein
Suivant son bon plaisir
Des fleurs jaillissent
Au milieu des cimeterres
Dans les décombres des nues
Qui peuplent les cimetières
On scalpe gaiement les abeilles
Au temps joyeux des hirondelles
11:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
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