vendredi, 19 décembre 2008
SE PERDRE EN L'AIR
La clarté du chant
Est toujours complice
Du ciel et de l'arbre
Toujours
Quand ce n'est pas le cas
C'est à l'oreille
Qu'il faut le reprocher
Elle qui nourrit le cérumen
De ses propres absences
Comme un air de bouchon
Pendant une thèse
Consacrée à Gabrielle
17:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
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