samedi, 20 décembre 2008
LES AILES FRAPPEES
Un fondu noir pour rendu libre
Grave les terres sans fumée
Pas polisson sur le papier
A poil sans gravité ni pôle
Vise moi entre ce grand môle
Où verdit le dos de nos mères
Amarrant l'envie de départ
Le vers élève des boissons
Qui saillissent l'essence gaie
Pour des bouches gorgées de son
17:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
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