mardi, 30 décembre 2008
COMME L'ENTRAIN DANS UN LIVRE
Les trains avancent
Comme des furets
Dans les librairies obsolètes
Où des lapins blancs s'amusent
A traquer le vent
Dans d'innombrables sortilèges
Danse du ventre immobile
Des naïades plein les mains
Pour peupler les mares et les trous d'eau
De sensations de cardamone
Et d'elliptiques mirages
Aux armes satinées d'émerveillement
16:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.