mardi, 30 décembre 2008
TOURNOYER
Et tourne le manège
Des moulins que la mer
Expectore sans vergogne
Et tournent les yeux du vent
Dans les corsages désunis
Des velléités travailleuses
Et tournent les gyroscopes fabuleux
Sans se soucier des cathédrales
Que de malandrins bouquinistes
Elèvent à des rangs
Dont nul n'envisage
L'absolue grotesquitude
17:40 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Une sale petite valse en somme. Mon bon salut.
Écrit par : Lephauste | mercredi, 31 décembre 2008
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