jeudi, 01 janvier 2009
RETOUR DE FLAMME
Rien à chercher
Dans ce monde étonnant
Où tout se présente
De lui-même à l'oreille
Ou à la vue de l'aveugle
Seuil de la douleur
Un gigantesque éclat de rire
Super nova des flamboyances
Qui ne laisse que cendre
En guise de minestrone
Pas de souffrance
En-dehors du théâtre
Et des cinémas de quartier
A l'imagination fertile
Comme une avoinée de moulins
Nul ne raconte l'histoire
Des esclaves du vent
Bercés par la tendresse
D'un parfum d'escampette
Qui perle un solfège invisible
20:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
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