samedi, 03 janvier 2009
THE NO COMMENTO
La poésie est une flagrance
D'inutilité en pleine peau
L'ignorent les censeurs
Habitant des combes d'eau
Où l'éclairage arrive intégral
Mais où les paupières et cils
Continuent d'être animés
De mouvements impromptus
Comme le maniement du ciseau
Pour manifester leur no comprendo
22:39 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
[Je ne "commente" pas... Mes yeux s'attardent sur la crête des vagues ; là où "le sujet" tout imprégné d'écume salée laisse un trace opalescente sur mes paupières nues, j'exprime un souffle "autre", le mien glissé dans votre trajectoire ; en écoutant mes coquillages nimbés de vos reflets, en suivant la ligne nacrée de mes ricochets profilés "à côté" de vos lignes, on peut saisir qu'en définitive, je fais écho lorsque le vent que vous propulsez délivre un pléthore d'émotions sur votre esquif ; au sein du mien alors, le ressenti pérégrine vers "aillleurs".]
La poésie ?
En 2002, je notais : Feuilles d'érable glissées entre nos heures éparses, la poésie perpétue nos reflets. Poèmes, aubier en vivance acheminé...
Alors "OUI"
THE NO COMMENTO disserte peut-être tandis que je calligraphie une même réalité comme je la déposerais sur mes carrés de lin...
mct
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | dimanche, 04 janvier 2009
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