vendredi, 09 janvier 2009
APRES LE BAL MASQUE
Dans la ville sans associé
Les enfants de la balle
Font la peau des jours
Pour revenir à la seconde
Où tout se fomente
Sans que l'air du temps
Y soit pour quelque chose
Les matous ronronnant
Sur les genoux du ciel
Leurs griffes éteintes
Dans la splendeur de l'aurore
Qui luit sur les cadavres
11:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
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