mercredi, 14 janvier 2009
AU PARLOIR DE MAHLER
D'anciennes ocres
Déflorent les sillons affamés
En aiguisant
L'air d'une folle humeur
Le porte-lame n'est que l'indiscrète
Damasquine des sables
Des figures d'aisance insensée
Sourdent au pays des épées
Les mines d'empire mêlent
Les vies sur l'étoile qui jouit
Des armes dévoilées par le gel
Cent pur-sang de ville-racine
23:24 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
merci
Écrit par : 3iny3ink | jeudi, 15 janvier 2009
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