mercredi, 14 janvier 2009
AU REPOS DE LA MER
Les jonques peignent
Les révolutions qui leur plaisent
Dans les brisants
Ou sur des parterres de fleurs
Peu importe à la main sereine
Qui trace sur le sable
Des figures d'évanescence
Pour le plaisir des yeux
Ecrire au laser invisible
Sur de la toile qui jouit
Les volutes arméniennes
De la vie sans souci
15:52 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
merci
Écrit par : 3iny3ink | jeudi, 15 janvier 2009
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