samedi, 17 janvier 2009
AU DOCTRINAIRE ENRICHI
Géronimo monte à cru
Sans qu'un seul mot ne se répète
Dans le phosphore blanc
Qui bombarde les civilitudes
La souffrance se marre
A la porte des cimetières
Où des ombres croient entrevoir
Le manège enchanté
Castor et Pollux en overdrive
Qui passent le mur du son
Sans qu'une aile acrobate
Ne se risque à les suivre
17:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.