lundi, 26 janvier 2009
DOIGTS DE FEE
L'idée d'un aboiement
Traverse un ciel de traîne
Comme une robe de marée
Aux cils décolorés
Par les pluies traversières
Qui jouent de la flûte
Sur le bord d'une rose eau
Dont les pétales reposent
En équilibre sur l'idée
Qu'il est une main
17:02 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Merci pour votre joli poème et de votre persévérance poétique...
Écrit par : unevilleunpoeme | lundi, 26 janvier 2009
Je vous suis
Écrit par : alistrid | lundi, 26 janvier 2009
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