dimanche, 01 février 2009
A L'ARGILE DU CROC
Petit lilas de la reine
Qui naît aux réjouissances du matin
S'infuse d'une paire de miels auvergnats
Derrière le contour nu des rangs
Où les bombes dévorant l'homme-lige
Se muent en zestes d'enfants gais
Défonçant les ponts en scrupuleux pets
Prisés des touristes aux larmes muettes
Les bardots gardent leurs faux
Au sens lisse de menstrueurs
Qu'ils brodent au pieu de rave
En mouchant les pires ânes des visas
Sans qu'un touron ne descende net
Gommer l'échalas des préavis de tiques
On rit ferme d'un déguisement
A l'utricule des mi-temps de laverie
20:04 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
ET Février advient...
Petit mois de purification...
Oh poète, à présent...
Parle ou tais-toi...
Au coeur des perce-neige !
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | dimanche, 01 février 2009
C'est doux léger.et ça respire le tout jeune printemps qui murmure sous l'herbe...
Écrit par : Corinne | dimanche, 01 février 2009
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