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jeudi, 12 février 2009

GRAND HUIT AMERICAIN

Frontière de la limpidité
Les chevaux pâturent
Sous les ruines haletantes
Que le givre cristallise
En rubans de verveine
Aux yeux écarlates
Qu'un carquois écarquille
Sur des paysages rétiniens
Marqués par le fer rouge
De l'absence d'incandescence

Frontière du cristal
Les eaux ne sont plus qu'un lac
Mare Nostrum pour Carthaginois
Dont le vol qualifié
Se mire sur la surface bleue
Des déserts de coriandre
Aux arômes de cris
Qui pactisent en choeur
De chaînes et d'estrades

Un maelström de mélanomes
Irradie ses poudres et ses fards
Sous lesquels rutile en silence
La plateforme ordinaire
Qui décoche des traits
En forme de sourire

Commentaires

C'est presque Disney le grand huit !

Écrit par : unevilleunpoeme | jeudi, 12 février 2009

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