mercredi, 18 février 2009
THEATRE DU BUVARD
Sur les routes pavées
Des bleus sédentaires
Matent les traités nomades
Que les moulins à café
Nimbent d'une huile boréale
Sur les chemins boueux
Des bleus d'une âme inconnue
Tintent l'argent d'un son
Que des tasses trouées
Evaporent en riant
Sous les plages sans sable
Des bleus conscrits
Rayonnent du vert-de-bleu
Qui imprègne insoluble
Les larmes du soleil
10:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
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