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jeudi, 19 février 2009

ABSOLUMENT MALE

Rien n'assaille jamais
La sérénité qui repose
Au fond du coeur
Au loin rugissent
Les chants du canon
Comme un choeur irréel
Qui émane des couleurs
Que l'argent fusionne
En un arc-en-ciel de saveurs
Menu de gala
Pour oiseau volage
En croisière de son choix

Commentaires

L'Absolu ment mal.

Écrit par : Christophe Borhen | vendredi, 20 février 2009

absolument mâle, oui, Gilles.
Bon après-midi

Écrit par : alistrid | vendredi, 20 février 2009

? Combien de titres sans action ?

Combien faut-il de pluies aurorales
Combien d'arcles de cercle dont l'évent taille
Combien de couleurs primaires aux saveurs muqueuses
Combien d'oiseaux qui migrent sans nom
Combien de texte à l'enduit des minuits passés
Combien de femmes cajôlées par la plume seulement
Combien d'amours libérées du corps
Combien de redites pour faire entendre raison
Combien de havres sans fait
Et de patures sans lait
Ici fait
"honi soit qui manigance"
Nous disait l'homme bourru présidentiable
À l'époque où tout changeait
Et où tout change toujours
Désappé par un regard mâle
Le geste malhabile
Rencontrant la parure blanche
Qui brille sans pierre
Du désir

Écrit par : pseudonymes1 | samedi, 21 février 2009

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