dimanche, 01 mars 2009
DESTRUCTION
Les murs se fondent
Dans un merveilleux cri
Qui glisse sur la ville
Bandit que la foudre
Permute en des bornes
Que l'illimité prend à sa charge
Là où bronze l'argent
Là où toute ville est en or
Là où se garent les vauriens
Qui sourient à mourir
08:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
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