jeudi, 19 mars 2009
SARMENT DU MATIN
Le temps des dauphins
Dévore les rubans
Pour ne laisser que liseré
Sur les lignes de la main
Les diseuses au sourire
Monochrome et translucide
Voient l'éblouissement
Qui transperce les yeux
Pour ne laisser en parure
Qu'un parfum d'eau profonde
13:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
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