samedi, 02 mai 2009
D'UN MATIN A L'AUTRE
Où n'est pas la question
Pearly Spencer court toujours
Alors que la course est gagnée
Sans qu'il n'y ait de perdant
Sur place des dauphins
Accompagnent les navires
Immobilisés sur les brisants
Où le sens s'immole
Et la roue tourne
Comme un soleil éteint
Sur la rutilance de la nuit
Qui sourit aux eaux pâles
10:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
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