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dimanche, 10 mai 2009

ESTAFILADE

Après l'épilation
L'étoile fleurit sans saison
Comme un brin de muguet
Qui adore l'hiver
Où les floraisons murales
Sont des moissons sans âge
Dont les sarments pérennes
Ne connaissent de l'éphémère
Qu'un sourire amusé
Sur une larme de lait

Commentaires

Des villes dans la plaine
Cormac Mc CARTHY
Editions de l'Olivier
Page 306

Il y a ici deux mondes qui se touchent. Tu crois que les hommes ont le pouvoir d'évoquer ce qu'ils veulent et de le faire surgir ? D'évoquer un univers, éveillés ou endormis ? De le faire respirer et d'y disposer des personnages qu'un miroir peut réfléchir ou que le soleil peut reconnaître ? Qu'on peut animer ces personnages en leur insufflant sa propre joie ou son propre désespoir ? Peut-on se cacher ainsi de soi-même ? Et si tel est le cas, qui se cache ? Et de qui ?

Écrit par : anonyme | dimanche, 10 mai 2009

Sont-ce les bonnes questions, anonyme ?

Retrouvons-nous quelque part et je tenterai d'y répondre... on a le temps

Écrit par : alistrid | lundi, 11 mai 2009

Les commentaires sont fermés.