jeudi, 14 mai 2009
SUR DE L'ABSENCE DE REPONSE
Grand merci à l'auguste
De comparer la rigole
A la pissotière de Duchamp
Pour une fois que la lucidité
Passe par la case ascension
Cela vaut bien attention
Les termites en feu
Ne mange pas du zirconium
Qui scintille sur le soutien-gorge
D'une tapineuse de banlieue
23:30 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
je vous observe depuis plusieurs mois...
Soudain, je réagis, sans bien savoir pourquoi...
Il ne vous manque plus qu'une chose pour advenir en poésie...
L'acceptation du silence au plus profond de votre existence... L'acceptation de l'abandon.
Elle vous obligerait à respecter les mots que vous prononcez en éructant sur le socle des autres... à respecter les maux qui vous ont tué par inadvertance...
Elle vous obligerait à vous respecter vous-même...
Mais pourquoi optez-vous pour les immondices ?
Pour ce simulacre d'exorcisme d'un mal qui échappe amplement à vote acceptation... sur la base du néant qui vous jouxte ?
POURQUOI tenter d'abjurer l'animal qui vous a tué en parlant du vivant qui vous permet de survivre en poétisant tout en tuant la poésie qui vous habite en détruisant vos partenaires de parole ?
Non. Je ne vous entends pas...
...
Écrit par : Fabrice | vendredi, 15 mai 2009
Je vous suis bien Gilles.
Le monde devient paranoïaque. Tout est prétexte à interprétation. Alors, allons... et, C'est à RIRE ! Mais les "Petits-Dieux" font la gueule.
Bises
Écrit par : alistrid | vendredi, 15 mai 2009
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