samedi, 23 mai 2009
LA MORT DES MONUMENTS
Mes mots sont les tiens
Que tu le veuilles ou non
Mais c’est sans importance
Car le vent les promène
En runes de santal
En caresses de jasmin
Sur les plages provisoires
Que la douceur féconde
De son empreinte incolore
De mirifique kaléidoscope
15:21 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
"Que tu le veuilles ou non"... c'est une phrase excitante, non ? d'autant que la suite offre un tel espace de liberté !
J'aime beaucoup.
Écrit par : alistrid | dimanche, 24 mai 2009
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