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vendredi, 19 juin 2009

HISTOIRE D'OUVERTURE


C'est comme un rail
Qui tourbillonnne
De la coke sans narines
Dans les houillères sous-marines

C'est comme un mal
Qui s'abandonne
Ou même un mâle qui se la donne

Et quand bien même le chien
Porte des poubelles
On n'a jamais rien sans rien

Commentaires

Finalement je déteste l’été

Voire le printemps sous toutes ses formes

Il y fait jour trop longtemps

Et les oiseaux y chantent comme des êtres cyniques



C’est malgré moi

Les simagrées du soleil enfin

L’émoi des grandes lunes

Et les fêlures des verres devins



Heureusement je n’ai le permis de rien

Et le téléphone à plumes

Explose tous mes restes à peu près divin

Lorsque j’allume les réseaux



Mégotant après mégots

Je ne pense à rien

Mais j’exhibe à défaut

Ma plus belle cambrure de chien



Pour le fun

For the sex appeal

Strict optimum

Dans l'arrière chambre de la dernière usine






Cribas 04.04.2009

Écrit par : Cribas | samedi, 20 juin 2009

la quantité n'a jamais été synonyme de qualité. XD

Écrit par : carpofolo | mardi, 23 juin 2009

Les commentaires sont fermés.