mardi, 01 septembre 2009
A GLIMPSE OF AIN
La source du matin
Ne connait des coulées
Que le mouvement des cils
Peignant l'eau de reflets
Qui vagabondent gaiement
Sur des rétines pourpres
Ensoleillées par l'ombre
Qui défigure les opales
Au son monocorde
Empreint de douceur
07:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
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