mardi, 22 décembre 2009
MARVELING
Le merveilleux n'a pas d'église
Il rayonne en acoustique
Dans le plus profond des silences
Que n'atteint pas la multitude
Des bruits ensorcelés
Le merveilleux s'écrit
De lui-même en palimpseste
Encre sympathique au demeurant
Rentré de ses pérégrinations
Et autres odyssées
Du merveilleux nul ne voit
Que son parfum familier
De transparente élégance
Qui séduit sans déroger
Le passant assis en sourire
09:53 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Oui, tout cela pour advenir jusqu'au vivant...
Quand la caresse du vent s'éprend de notre visage en son entier...
La douceur de l'air mis en ambiance s'apprend en larmes d'encre vive...
Tout s'en vient ainsi, purement, donné à méditer pour recevoir les mots qui jouxtent une parole vive que nous osons formuler ici, ou là...
Marie-Christine
Écrit par : Marie-Christine Touchemoulin | mardi, 22 décembre 2009
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