mardi, 29 décembre 2009
DAB
Un feu de camp abandonné
Tel un incendie ravageur
A l'incandescence absolue
D'un iceberg de douceur
De la fumée sur la plaine
Qui forme des montagnes
De longues saisons de pleurs
Qui ne sont que sourire
Là où rien ne germe
Dans le tonnerre qui invente
Des grondements muets
Pour amuser sa galerie
11:46 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Et tout cet espace vide mis en ambiance qui nous oblige à écrire... pour "rien"... ??? et à parler pour ne rien dire quand tout s'en vient à faire du sens au plus creux de nos solitudes respectives ? Là où rien ne saurait germer... seule la poésie peut nous exprimer en ambiance...
Meilleurs voeux...
Écrit par : Marie-Christine Touchemoulin | vendredi, 01 janvier 2010
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