jeudi, 11 mars 2010
PANDEMIE
Les vents n'ont aucune prise
Au pied de l'éolienne
Dont la girouette
Enivre d'énergie
Les yeux de l'omission
Le désastre est un sourire
Sur fond d'apocalypse
Lucy danse sur la foudre
Des radiations nucléaires
Missiles balistiques haute densité
Et le language s'émerveille
Des tours de Bab-El-Oued
Sur lesquelles l'eau de pluie
Scintille telle une acrobate
Qu'un feu d'artifice enchante
De ses plumes multicolores
12:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
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