jeudi, 16 septembre 2010
HISTOIRE DE PENDRE L'AIR
C'est le joyeux privilège
Du crieur de journaux
Que de déclamer
En vert et contre tout
Sur le chemin de la gare
Qui repeint les halls de Bucarest
En odeurs sans histoires
Emplies de procès sans fin
Et de non-lieux éblouissants
L'évidence de l'incendie
Qui ravage les bibliothèques
Au Nord des cathédrales
13:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.