lundi, 18 octobre 2010
TEENAGE HOBOTOMY
Quand j'étais jeune
C'est toujours pour demain
Le temps descend des pupilles
Pour repeindre ses galeries
Du pourpre légitime
Du vert renégat
Du fluo pour le fun
De l'uranium en guise d'oreiller
De la plume pour seul édredon
Une femme nue aux tétons gigantesques
Balisant une minuscule poitrine
Où repose un feu doux
16:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
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