jeudi, 27 janvier 2011
KOMAN KI KOZ
Des aiguillages
A la gare de triage
Direction vagabondage
Des trains comme autant de rivages
Ondule encore ma biche
Dans la fumée de ma cibiche
Pour la danse t'es fortiche
Dans le talent de ta friche
A l'aiguillon
Hors-cadre en haillons
Retraite sans pension
La jouissance de l'oraison
14:07 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
La 2e strophe sonnait très poeteric.
Écrit par : atlas | vendredi, 28 janvier 2011
direction vagabondage je te donne une autre façon de l'écrire direction vagabond d'âge, et te voilà en plein sur la retraite.
wawwah, j'écoute de la musique à la télé bien rythmée.
Écrit par : elisabetha | samedi, 29 janvier 2011
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